Les informations relayées sur ce blog proviennent de différents sites auxquels je n'adhère pas forcément dans leurs totalités. Faites preuve de discernement.

dimanche 19 janvier 2014

L'élite noire derrière les rave parties

Merci à K pour le lien ;) 

Entretien avec une rescapée des soirées Goa-Trance




Auteur: C.R.O.M.

Chaque week-end, des millions de jeunes se rendent dans de grands temples en forme de boîtes noires pour danser extatiquement sur une musique répétitive qui pénètre jusque dans leur corps. Quel est le sens de cette nouvelle communion? Que se passe-t-il à l'arrière du décor? C'est un sujet que nous allons tenter d'explorer à travers l'expérience d'Orfée (nom fictif), qui s'est frottée de près à l’une des sphères de ce milieu, à savoir la scène «Goa-Trance».

C.R.O.M.: Comment t’es-tu retrouvée dans cette scène de la «Goa-Trance»?

Orfée: Par un copain que j'avais connu en Inde. Après notre rencontre, on a échoué à Goa sur la côte ouest de l’Inde. Et là, j'ai rencontré ses amis qui, justement, étaient «bien placés» dans les milieux trance. Je n'ai pas été tout de suite acceptée, loin de là, puisque, pour être acceptée, il faut connaître du monde ou avoir quelque chose de particulier – comme faire de la musique, dealer de la drogue, ou être très belle. Mais en tout cas, j'étais sa copine, et je suis entrée. C'était en 1998. Je dois dire que ce n'était pas vraiment mon genre de musique, j'avais du mal à m’y faire. Mais je m'y suis habituée, car on finit par entrer dans le rythme.

C.R.O.M.: Peux-tu parler de cette musique et du type d'ambiance?

Orfée: C'est de la musique trance-techno, c'est-à-dire électronique avec un beat répétitif, mais avec des effets sonores qui te font «planer». Tu peux facilement les suivre, passer d'un son à l'autre et, finalement, entrer dans une certaine forme de transe. C'est ça le but. La musique techno ordinaire a un rythme soutenu, plus fort, moins sophistiqué... Le son Goa, c'est de la musique qui se veut «intelligente».
Dans ce milieu, tout le monde est bien fringué. Assez «avant-garde». Les décors sont très soignés, plein de peintures «psychédéliques» avec des couleurs vives, voire fluo. Très souvent les parties ont lieu dans la nature: sur la plage, dans la montagne, etc.
On trouve toutes les drogues, particulièrement celles qui ont des effets hallucinogènes. Elles s'associent parfaitement avec la musique. Cette combinaison ouvre à toutes sortes de nouvelles perceptions...
Ce n'est pas n'importe qui qui organise les soirées. Il faut bien que les drogues viennent de quelque part, qu’elles soient distribuées au bon moment ; il faut que les meilleurs DJ soient là. C'est un gros business.
La Goa existe depuis le milieu des années 80... Là-dedans, tu as des «vieux de la vieille», des gens qui ont eu accès à beaucoup d'informations occultes par les drogues... Puis il y a les dealers qui sont de mèche avec les organisateurs qui sont eux aussi de mèche avec les DJ.
Toutes ces personnes forment de grandes familles. Comme il y a des parties dans tous les pays du monde, il y a la tribu des Anglais, des Allemands, des Israéliens, des Américains, etc. Chaque pays a son élite, sa cour.

lundi 13 janvier 2014

Un média français ose enfin parler des Morgellons et des Chemtrails ! (VidZ)



Ha la vache, ils parlent ENFIN des morgellons en FRANCE ! Un grand bravo à Séverine pour oser en parler face aux caméras ! Et toute ma compassion envers elle.. On sait tous comment finissent les victimes de cette terrible maladie...

Source : Provence-Alpes-fr3

Des filaments qui sortent des doigts, des boutons sur le visage, des plaques sur les mains... Nous avons rencontré ces habitants qui se disent victimes de la maladie dite des Morgellons. Leurs maux seraient dus à la traînée blanche des avions dans le ciel. La communauté scientifique s'interroge

[...] Pour Séverine et Nadine, c'est sûr, leurs maladies de peau viennent de ces traînées blanches que laissent les avions dans le ciel. Elles nous montrent les filaments retrouvés dans le jardin. Elles souffriraient d'une nouvelle pathologie : la maladie des morgellons. Des prélèvements effectués montrent la présence de toxiques mais difficile de définir leur origine. Nous avons interrogé le chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Nord de Marseille,