Les informations relayées sur ce blog proviennent de différents sites auxquels je n'adhère pas forcément dans leurs totalités. Faites preuve de discernement.

mercredi 14 août 2013

Ca devient vraiment de plus en plus grave.

*Plus le temps avance, plus je me demande si un jour nous allons nous réveiller devant l'infamie perpétuelle et grandissante qui saborde,  détruit et re-formate les cerveaux les plus faibles (pour ne pas dire tous...). Toucher aux enfants est la pire chose qui soit. Dire que l'on donne un choix d'identité de genre alors qu'on pousse l'Être à vivre dans le genre opposé est une abomination. C'est aussi un moyen supplémentaire de tester le QI et de constater qu'ils ne sont pas prêts de se rebeller face à l'infamie... Dans ses conditions, le pire est à venir. (Vous constaterez qu'il est principalement question de la castration des mâles, nous ne voyons pas de petites filles en bucherons ou camionneurs...)


Aux États-Unis, un camp pour "enfants LGBT" 

 


 


On se souvient de la mine réjouie de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille devant des enfants victimes d’une expérience au sein de la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen, destinée à "lutter contre les stéréotypes de genre qui assignent les enfants à des rôles différents en fonction de leur sexe".

 
Le changement (de sexe) : c’est maintenant ?
 
Mais aux États-Unis, on tient à rester précurseur dans la décadence... Ainsi, durant trois années, la photographe militante Lindsay Morris a suivi durant chaque été, un "Gender Camp" où durant quatre jours, des parents adeptes de la "théorie du genre" amènent leurs garçonnets dans "un refuge" où ces derniers peuvent exprimer librement leur féminité, loin des stéréotypes virils.



Dans ce camp, ont lieu notamment des défilés de mode où les petits garçons peuvent se maquiller et porter robes, talons hauts et sacs à main et adopter des manières féminines (visionnent-ils aussi, Michel Serrault-Zaza dans la "Cage aux folles" ?).

Lindsay Morris ne tarit pas d’éloges et se pâme d’enthousiasme devant ces enfants qui préparent leurs robes "avec leurs mères ou en famille", elle déclare :
"Ces garçonnets se questionnent dans leur vie quotidienne sur leur orientation, le camp est un endroit idéal pour exprimer ses craintes car nous entendons tant de tragédies au sujet des enfants LGBT qui sont victimes d’intimidation et frappés par la dépression et le suicide. Mon projet artistique est de représenter l’esprit de ces garçons quand il brille".

Flairant le bon filon "dans l’air du temps", Lindsay Morris espère un jour être en mesure de lancer une tournée mondiale de spectacles avec ces "jeunes LGBT" qui bien sûr, fera d’abord le tour des États-Unis… puis de créer une fondation pour financer le déplacement et le séjour au camp des plus défavorisés d’entre eux...

Un petit business qui devrait se poursuivre puisque Lindsay Morris a pour projet de suivre ces enfants au cours des années et d’assister à leur évolution vers l’âge adulte.

La dégénérescence sans fin de la société états-unienne étant un modèle pour nos "Young leaders" français, on imagine que cette expérience de ’’Camp du Genre’’ devrait arriver chez nous très bientôt (animé par le styliste et mannequin Vincent Mc Doom ?)

À noter que selon le site style.lesinrocks.com : ces clichés sont "joyeux, très émouvants"...

Voici quelques-uns des clichés pris par Lindsay Morris (l’intégralité est visible ici) :